Une maison de production artisanale de cognacs depuis plus de 210 ans.
L’exploitation viticole a été créée sur la commune de Saint-Preuil en 1805 par nos ancêtres, les familles ALLARD et CHAUVIN. Cette petite commune de 289 habitants est située au cœur de la Grande Champagne, premier cru du Cognac.
Une maison de production artisanale de cognacs depuis plus de 210 ans.
L’exploitation viticole a été créée sur la commune de Saint-Preuil en 1805 par nos ancêtres, les familles ALLARD et CHAUVIN. Cette petite commune de 289 habitants est située au cœur de la Grande Champagne, premier cru du Cognac.
Un terroir d’exception pour un cognac d’exception
Notre exploitation viticole se situe au cœur même de la Grande Champagne, Premier cru de Cognac produisant des eaux-de-vie d’une grande finesse, marquées par beaucoup de distinction et de longueur et au bouquet a dominante florale. Ces eaux-de-vie demandent un long vieillissement en fut de chêne pour acquérir leur pleine maturité. Seules les eaux de vie issues de ce cru peuvent bénéficier de l’Appellation Contrôlée ” Cognac Grande Champagne ” ou ” Cognac Grande Fine Champagne “.
Les sols argilo-calcaire assez superficiels sur calcaire tendre et crayeux du crétacé ont une forte influence sur le goût et l’arôme des vins qui y sont produits. C’est en Grande Champagne que la couche calcaire est la plus épaisse et la plus ancienne. Vous retrouverez le calcaire partout dans ces photos : des pierres blanches au sol des vignes jusqu’aux murs des maisons et des chais.
La superficie de 30 hectares que nous exploitons aujourd’hui nous autorise une conduite respectueuse de notre vignoble. Nous cherchons à faire le maximum pour avoir une viticulture raisonnée et utiliser un minimum de pesticides. Un couvert végétal naturel est délibérément maintenu dans et autour du vignoble et contrôlé par le travail mécanique du sol et le broyage. Une telle couverture végétale encourage et stimule la vie du sol.
Une famille, un terroir, une histoire
Pierre CHAUVIN et son épouse Jeanne s’installent à Saint-Preuil en 1805 juste après la naissance de leur premier fils. Ils possédaient très peu de terres, donc peu de vignes. Au fil des ans, ils achètent de nouvelles parcelles qu’ils plantent en vignes. A cette époque les cépages étaient principalement le Colombard et la Folle Blanche. La culture se faisait avec des bœufs puis un peu plus tard avec des chevaux. Dès les premières récoltes ils firent installer un alambic charentais de 3 hl chauffé au bois et commencèrent à stocker le cognac.
A cette époque il était nécessaire de dormir dans la distillerie afin de surveiller le feu et l’écoulement du Cognac. L’alambic de 3 hl est changé vers 1900 par un de 6hl. En 1944, le grand-père, Emile Ardoin, est le successeur des quatre générations de viticulteurs de la famille ; il fait rapidement évoluer l’exploitation ; sept hectares de vigne sont replantés en Ugni blanc. Les chevaux cultivent toujours la vigne mais en 1948 un tracteur est acheté. Le charbon (en briquettes) fait son apparition pour distiller en remplacement du bois. C’est une évolution très faible, car en fait il faut toujours continuer à dormir dans la distillerie, seule la surveillance du feu est un peu facilitée.
La sixième génération de cette famille, Daniel et Liliane BOUJU, ont perpétué les mêmes principes de tradition. Ils ont continué à acheter les rares terres disponibles et à planter de la vigne. La modernisation des cultures commence à venir ; les chevaux disparaissent au profit des tracteurs. L’alambic de 6 hl est remplacé en 1960 par un autre de 16,5 hl. Aujourd’hui nous possédons 30 hectares de vignes plantés en Ugni-blanc, en Grande Champagne. La modernisation culturale est certainement à son maximum. Seul le Cognac n’a pas évolué, il ne peut évoluer. Nous distillons et faisons vieillir le Cognac de la même façon que nos aïeux.
Une famille, un terroir, une histoire
Pierre CHAUVIN et son épouse Jeanne s’installent à Saint-Preuil en 1805 juste après la naissance de leur premier fils. Ils possédaient très peu de terres, donc peu de vignes. Au fil des ans, ils achètent de nouvelles parcelles qu’ils plantent en vignes. A cette époque les cépages étaient principalement le Colombard et la Folle Blanche. La culture se faisait avec des bœufs puis un peu plus tard avec des chevaux. Dès les premières récoltes ils firent installer un alambic charentais de 3 hl chauffé au bois et commencèrent à stocker le cognac.
A cette époque il était nécessaire de dormir dans la distillerie afin de surveiller le feu et l’écoulement du Cognac. L’alambic de 3 hl est changé vers 1900 par un de 6hl. En 1944, le grand-père, Emile Ardoin, est le successeur des quatre générations de viticulteurs de la famille ; il fait rapidement évoluer l’exploitation ; sept hectares de vigne sont replantés en Ugni blanc. Les chevaux cultivent toujours la vigne mais en 1948 un tracteur est acheté. Le charbon (en briquettes) fait son apparition pour distiller en remplacement du bois. C’est une évolution très faible, car en fait il faut toujours continuer à dormir dans la distillerie, seule la surveillance du feu est un peu facilitée.
La sixième génération de cette famille, Daniel et Liliane BOUJU, ont perpétué les mêmes principes de tradition. Ils ont continué à acheter les rares terres disponibles et à planter de la vigne. La modernisation des cultures commence à venir ; les chevaux disparaissent au profit des tracteurs. L’alambic de 6 hl est remplacé en 1960 par un autre de 16,5 hl. Aujourd’hui nous possédons 30 hectares de vignes plantés en Ugni-blanc, en Grande Champagne. La modernisation culturale est certainement à son maximum. Seul le Cognac n’a pas évolué, il ne peut évoluer. Nous distillons et faisons vieillir le Cognac de la même façon que nos aïeux.